« Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde.»      Wittgenstein

C’est une belle histoire, comme une fable philosophique pleine d’humour et d’humanité.
L’improbable rencontre de Margueritte, une délicate vieille jeune fille, sensible et cultivée, et de
Germain, un aimable rustre, ballot limité du bonnet, que la vie n’a pas gâté.
C’est la naissance d’une amitié faite de complicité, d’humour et d’humanité entre une adorable
vieille dame et un dernier de la classe, dernier de cordée, assis sur un banc tout occupé à compter et
recompter les pigeons du parc.
Heureuse rencontre dans ce jardin public. Ils se parlent, ils échangent. Elle, tout en gentillesse, lui
révèle le bonheur des mots, l’humanité de la parole, la beauté de la littérature. S’ouvrent alors
devant lui les portes de l’imaginaire. Mais pas que…. En accédant au subtil poids des mots, à la
délicatesse de leurs sens, au langage et à ses finesses, il accède à la connaissance du monde ainsi
qu’à la conscience de lui-même, et s’en trouve métamorphosé.

Le roman de Marie-Sabine Roger a été porté à l’écran par Jean Becker, avec Gérard Depardieu et
Mathilde Casadesus… le voici adapté avec succès au théâtre, encensé par la critique.

« Un hymne à la joie de lire, à la joie de se parler.»                                               TELERAMA

« Magnifique ! Un pur moment de bonheur.»                                                     REG’ARTS

« Une comédie pleine d’humanisme, drôle et émouvante, portée par deux merveilleux comédiens.»             

 LE DAUPHINE LIBERE